Metal Militia
Cacophonous language, indistinguishable from noise because of gritty timbres emitted through heavily distorted guitars, screaming vocals, pounding drums,
and thumping basses.
Heavy metal has no afterwards,
it is focused on and frozen on the now,
the moment, and thus the body
rather than the mind.
Chronique du concert
Birmingham, Angleterre, 1969. C’est ce qu’on considère
généralement comme le lieu et la date de naissance de la musique
metal. Son avènement est le résultat de facteurs artistiques, technologiques,
économiques, sociaux et culturels spécifiques à l’époque :
désindustrialisation (à Birmingham ou à Detroit aux États-Unis), crises
économiques, fin du mouvement hippie... Pourtant, malgré son demisiècle
d’existence, le genre et sa pertinence perdurent aujourd’hui sans
montrer de signes d’essoufflement, fédérant de nombreux adeptes et
ignorant les frontières géographiques et culturelles.
C’est peut-être en partie cette imagerie récurrente qui fait la réputation
du metal - de manière positive ou péjorative, c’est-à-dire sa vocation à
explorer la face sombre de l’humain, ce que l’ordre établi veut réprimer
ou cacher, mais qui pourtant fascine l’humanité : l’occulte, le mystique,
le diabolique, le tabou. Cette fascination, dans notre contexte,
dépasse largement ce qu’on pourrait à tort interpréter comme de la
simple provocation ou comme une attraction malsaine pour le morbide.
Elle montre une insatisfaction, le besoin de créer du sens dans
un monde irrationnel et instable, mais aussi de revendiquer un droit
à la subversion et de s’affranchir de ce sentiment de société « lisse ».
De la même manière que la tragédie antique, les oeuvres de la littérature
gothique ou les films d’horreur, le metal permet aussi d’expérimenter
de manière cathartique des émotions réprimées, de les expérimenter
sans conséquences, de dédramatiser, et aussi d’accepter notre condition
humaine. D’embrasser l’obscurité plutôt que de la refouler. La
violence et la brutalité apparentes qui font irruption dans le metal, la
tension entre ordre et violence sont parfaitement contrôlées. La gestuelle
corporelle observée lors des concerts ou festivals répond à des
codes et à un vernaculaire implicites mais assimilés par les amateurs.
Le metal fait aussi appel à la notion du sacré, et possède des aspects de
religiosité : rites, rituels, prophètes, évocation de l’invisible, de dieux
anciens, reliques, ou encore fétichisme par rapport à certains objets.
Only way to feel the noise is when it's good and loud
Shake your head you must be dead if it don't make you fly
Le metal fait aussi appel à la notion du sacré, et possède des aspects de
religiosité : rites, rituels, prophètes, évocation de l’invisible, de dieux
anciens, reliques, ou encore fétichisme par rapport à certains objets.
Mon article
Birmingham, Angleterre, 1969. C’est ce qu’on considère
généralement comme le lieu et la date de naissance de la musique
metal. Son avènement est le résultat de facteurs artistiques, technologiques,
économiques, sociaux et culturels spécifiques à l’époque :
désindustrialisation (à Birmingham ou à Detroit aux États-Unis), crises
économiques, fin du mouvement hippie... Pourtant, malgré son demisiècle
d’existence, le genre et sa pertinence perdurent aujourd’hui sans
montrer de signes d’essoufflement, fédérant de nombreux adeptes et
ignorant les frontières géographiques et culturelles.
C’est peut-être en partie cette imagerie récurrente qui fait la réputation
du metal - de manière positive ou péjorative, c’est-à-dire sa vocation à
explorer la face sombre de l’humain, ce que l’ordre établi veut réprimer
ou cacher, mais qui pourtant fascine l’humanité : l’occulte, le mystique,
le diabolique, le tabou. Cette fascination, dans notre contexte,
dépasse largement ce qu’on pourrait à tort interpréter comme de la
simple provocation ou comme une attraction malsaine pour le morbide.
Elle montre une insatisfaction, le besoin de créer du sens dans
un monde irrationnel et instable, mais aussi de revendiquer un droit
à la subversion et de s’affranchir de ce sentiment de société « lisse ».
De la même manière que la tragédie antique, les oeuvres de la littérature
gothique ou les films d’horreur, le metal permet aussi d’expérimenter
de manière cathartique des émotions réprimées, de les expérimenter
sans conséquences, de dédramatiser, et aussi d’accepter notre condition
humaine. D’embrasser l’obscurité plutôt que de la refouler. La
violence et la brutalité apparentes qui font irruption dans le metal, la
tension entre ordre et violence sont parfaitement contrôlées. La gestuelle
corporelle observée lors des concerts ou festivals répond à des
codes et à un vernaculaire implicites mais assimilés par les amateurs.
Le metal fait aussi appel à la notion du sacré, et possède des aspects de
religiosité : rites, rituels, prophètes, évocation de l’invisible, de dieux
anciens, reliques, ou encore fétichisme par rapport à certains objets.
Metal exists not in a world that would be fine if it were not marred by degraded culture, but in a world disjointed by inequity and injustice
Super texte
Birmingham, Angleterre, 1969. C’est ce qu’on considère
généralement comme le lieu et la date de naissance de la musique
metal. Son avènement est le résultat de facteurs artistiques, technologiques,
économiques, sociaux et culturels spécifiques à l’époque :
désindustrialisation (à Birmingham ou à Detroit aux États-Unis), crises
économiques, fin du mouvement hippie... Pourtant, malgré son demisiècle
d’existence, le genre et sa pertinence perdurent aujourd’hui sans
montrer de signes d’essoufflement, fédérant de nombreux adeptes et
ignorant les frontières géographiques et culturelles.
C’est peut-être en partie cette imagerie récurrente qui fait la réputation
du metal - de manière positive ou péjorative, c’est-à-dire sa vocation à
explorer la face sombre de l’humain, ce que l’ordre établi veut réprimer
ou cacher, mais qui pourtant fascine l’humanité
Prochains concerts
Birmingham, Angleterre, 1969. C’est ce qu’on considère
généralement comme le lieu et la date de naissance de la musique
metal. Son avènement est le résultat de facteurs artistiques, technologiques,
économiques, sociaux et culturels spécifiques à l’époque :
désindustrialisation (à Birmingham ou à Detroit aux États-Unis), crises
économiques, fin du mouvement hippie... Pourtant, malgré son demisiècle
d’existence, le genre et sa pertinence perdurent aujourd’hui sans
montrer de signes d’essoufflement, fédérant de nombreux adeptes et
ignorant les frontières géographiques et culturelles.
C’est peut-être en partie cette imagerie récurrente qui fait la réputation
du metal - de manière positive ou péjorative, c’est-à-dire sa vocation à
explorer la face sombre de l’humain, ce que l’ordre établi veut réprimer
ou cacher, mais qui pourtant fascine l’humanité
Interview
Birmingham, Angleterre, 1969. C’est ce qu’on considère
généralement comme le lieu et la date de naissance de la musique
metal. Son avènement est le résultat de facteurs artistiques, technologiques,
économiques, sociaux et culturels spécifiques à l’époque :
désindustrialisation (à Birmingham ou à Detroit aux États-Unis), crises
économiques, fin du mouvement hippie... Pourtant, malgré son demisiècle
d’existence, le genre et sa pertinence perdurent aujourd’hui sans
montrer de signes d’essoufflement, fédérant de nombreux adeptes et
ignorant les frontières géographiques et culturelles.
C’est peut-être en partie cette imagerie récurrente qui fait la réputation
du metal - de manière positive ou péjorative, c’est-à-dire sa vocation à
explorer la face sombre de l’humain, ce que l’ordre établi veut réprimer
ou cacher, mais qui pourtant fascine l’humanité. Birmingham, Angleterre, 1969. C’est ce qu’on considère
généralement comme le lieu et la date de naissance de la musique
metal. Son avènement est le résultat de facteurs artistiques, technologiques,
économiques, sociaux et culturels spécifiques à l’époque >Birmingham, Angleterre, 1969. C’est ce qu’on considère
généralement comme le lieu et la date de naissance de la musique
metal. Son avènement est le résultat de facteurs artistiques, technologiques,
économiques, sociaux et culturels spécifiques à l’époque :
désindustrialisation (à Birmingham ou à Detroit aux États-Unis), crises
économiques, fin du mouvement hippie...
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